Le jeudi 8 septembre était célébrée la messe de la Nativité de la Vierge Marie, journée choisie pour la fête des bénévoles en signe de reconnaissance et de convivialité.

Nous étions une vingtaine de personnes.
Nous nous sommes retrouvés en début de soirée pour la messe.

Le père Sanctus a eu une pensée pour nos bénévoles malades et en difficulté car ils ont œuvré pour le bon fonctionnement de notre paroisse. Il nous a fait réfléchir pendant son homélie sur le sens du service dans l’Église.

Après la messe nous nous sommes retrouvés pour un pique-nique partagé à la salle de la Mairie.
Moment très agréable, nous avons bien discuté et bien rigolé.
Ce moment de partage nous a fait beaucoup de bien.

Petits mots de nos bénévoles :

• Merci Seigneur que nous soyons une paroisse unie.
• Merci Seigneur de nous donner la grâce d’avancer dans notre parcours de bénévole au service de la Maison de Dieu.

Le samedi 3 septembre a eu lieu le forum des associations sur Caudan. C’était un rendez-vous à ne pas manquer. En plus d’un moment convivial, c’était effectivement l’occasion pour les associations de se faire connaître et pour les familles de nous rencontrer pour des renseignements ou des inscriptions.

Nous avons eu beaucoup de familles, de jeunes et d’enfants à nous rendre visite.

Un très beau moment.

Après deux années compliquées, le pardon du Trescouet a été célébré le 7 août avec beaucoup de ferveur et de joie.

Le Père Sanctus a célébré Notre-Dame-des-Forces, accompagné du Père Urbain, (qui nous a fait le plaisir de revenir après avoir officié en juillet dans notre paroisse).

Gérard Rouarch, diacre de Lanester, nous a fait part, lors de l’homélie, de son bonheur de retrouver la chapelle où il a été baptisé pendant la guerre.

Après la jolie procession, nous avons partagé le verre de l’amitié offert par l’association "Les Amis du Trescouët".

Mgr Raymond Centène, évèque de Vannes, nomme

au Doyenné de Guer :

• M. l’abbé Olivier Le Roch, curé de la communauté de paroisses de Guer, Monteneuf et Beignon

au Doyenné de Lorient :

• M. l’abbé Barnabé Zomakpe, du diocèse de Cotonou (Bénin), vicaire à Sainte-Bernadette à Lorient
• M. l’abbé Olivier Lorne, recteur de l’ensemble paroissial Saint-Joseph-du-Plessis - Notre-Dame-du-Pont à Lanester, en résidence au presbytère de Saint-Louis à Lorient

En savoir plus...

Vous tenez en main le plus improbable des dialogues.
Kelly, Bartosz, Peterson… et tant d’autres vivent dans la pauvreté, la rue, la galère. Eux à qui on ne donne jamais la parole et qu’on n’entend jamais entrent ici en discussion avec le pape François, qui « rêve d’une Église pauvre pour les pauvres ».
Ils se sont parlé longtemps : eux qui ont soif de relation, de proximité, de justice, et lui qui ouvre pour l’Église un chemin « de fraternité, d'amour et de confiance ».
Les questions sont venues du monde entier. Elles sont de celles qu’on n’avait posées à aucun pape : son salaire, ses amours, ses défauts, ses doutes, ses angoisses, son confesseur… Elles bousculent aussi François sur l’argent, l’injustice, la guerre, le mal ou le désespoir.
Ses réponses sont sincères, provocantes ou graves, toujours sans détour. Elles sont de celles qu’on n’avait jamais lues ailleurs.
Un échange d’égal à égal, unique et inspirant.

L’association Lazare, qui anime des colocations solidaires entre jeunes actifs et personnes de la rue, est à l’origine de ce dialogue. Avec l’aide de nombreuses associations partenaires, elle a recueilli des questions des pauvres du monde entier, puis a accompagné certains d’entre eux à Rome, pour les poser directement au pape. Avec l’accord de ce dernier, les droits d’auteur du livre seront reversés à ces associations engagées sur les cinq continents.

https://www.seuil.com/ouvrage/des-pauvres-au-pape-du-pape-au-monde-pape-francois/9782021492361

https://www.lavie.fr/christianisme/eglise/un-echange-authentique-simple-vrai-nous-avons-lu-des-pauvres-au-pape-du-pape-au-monde-81588.php

Depuis le début de son pontificat, le pape François travaille à la réforme de l’Église. Il vient de franchir un nouveau cap avec la publication, samedi 19 mars, de la nouvelle constitution apostolique qui change en profondeur les services du Vatican. Ce texte est important, car à travers son organisation, son fonctionnement, ses nominations, la place qu’elle reconnaît aux laïcs, l’Église dit toujours quelque chose d’elle-même, de la manière dont elle comprend sa mission, de la façon dont elle entend la mener.

Avec cette nouvelle constitution apostolique, le pape pérennise les changements qu’il conduit depuis neuf ans en vue de renouveler le style de l’Église et de dynamiser son élan missionnaire. Si l’Église veut être servante, elle doit le manifester à travers toutes ses composantes, y compris au plus haut niveau. La curie romaine ne doit pas être une bureaucratie où l’on vient faire carrière ; elle ne peut pas être une entité hors-sol coupée de la réalité de la vie des communautés locales.

Placée sous la responsabilité du Saint-Père, elle doit être au service des Églises locales pour les soutenir et les accompagner dans leur mission évangélisatrice, pour recueillir le meilleur de ce que chacune vit et le faire connaître aux autres en vue d’une stimulation mutuelle.

Praedicate evangelium. Le nom de la nouvelle constitution apostolique « sur la curie et son service à l’Église et au monde » résume bien la perspective du pape François :

Annoncez l’Évangile !
C’est une feuille de route adressée à tous ceux et celles qui travaillent à la curie,
comme à tous ceux et celles qui œuvrent dans toutes les institutions et les services d’Église.
L’Évangile, rien que l’Évangile. 

https://www.vaticannews.va/fr/vatican/news/2022-03/constitution-apostolique-praedicate-evangelium-mgr-valdrini.html

Le samedi 12 mars, les enfants et les jeunes de la paroisse se sont retrouvés pour une nouvelle aventure au Centre de loisirs de 10h à 16h. Au cours de cette rencontre, ils ont pris du temps pour écouter nos responsables et réfléchir à l'Église d'aujourd'hui et de demain.

Les enfants et les jeunes sont invités à répondre à des questions. Le synode se veut intergénérationnel. Il n’y a pas de synode spécial pour eux, il n’y a qu’un synode diocésain que chacun vivra personnellement avec d’autres, en suivant la force de l’Esprit Saint qui le portera à le faire. Ce synode laissera donc toute sa place à la parole des enfants et des jeunes.

Synode signifie marcher ensemble, mais aussi avancer et grandir. Trois mots clés donnent la dimension à ce synode : Communion, Participation et Mission.

La synodalité, c’est la manière dont l’Église fait participer ses différents membres à l’ensemble de sa vie et de sa mission.

Le sens du cheminement auquel nous sommes tous appelés est avant tout la redécouverte du visage de l’Église synodale où chacun a quelque chose à apprendre et à apporter. Chacun doit se sentir impliqué dans le changement ecclésial et social dont nous avons tant besoin. Ce changement appelle une conversion personnelle et communautaire.

Depuis octobre 2021, l’Église est convoquée en synode ; il s’inscrit dans un contexte difficile (Covid, Guerre en Ukraine). C’est une invitation à dialoguer et à marcher avec d’autres, un temps d’écoute, d'échange et de discernement.

Les enfants ne sont pas seulement l’avenir du monde. Ils sont présents et nous enrichissent par leur contribution. Nous pensons vraiment que leur participation à la vie et à la construction de l’Église est essentielle au même titre que celle des adultes. Il est important qu'ils puissent tous prendre leur part.

Ouvrons nos cœurs et marchons ensemble, enfants, jeunes et adultes pour l’Église de demain. Prenons soin de nos enfants et nos jeunes. C’est très important d’être à leur écoute, de les accompagner vers la joie d'être chrétiens. Ils peuvent par leur présence et leur parole, aider l’Église à rajeunir son visage :

"Nous avons le désir de nous engager dans des projets qui font sens,
de donner de notre temps, de vivre nos valeurs."

Ce fut une journée bien remplie pour tous, et le plaisir d'une pause à l’extérieur… Du bonheur simple.