Le 13 mai 15 jeunes de Caudan ont fait leur Profession de foi.
Mouvements & Services
L'opération de Carême "pique-nique solidaire" du 30 mars a permis de remettre un chèque de 825 € au Secours Catholique. En l'absence de la responsable de l'association, Françoise Lacroix a été missionnée pour recevoir ce chèque.
Nous étions tous heureux d'apporter du soutien pour des actions en faveur de ceux qui en ont besoin. Françoise a promis un retour du Secours Catholique quant à l'utilisation de ce don.
Encore un grand merci pour cet engagement solidaire !
Le mardi 30 mars le Père Sanctus a accueilli les élèves de 6ème et 5ème à l’église pour célébrer Pâques.
Durant le temps de Carême, dans leurs différents groupes de catéchèse et de culture religieuse, tous les élèves de ces niveaux ont participé à un temps de réflexion concernant les efforts à faire dans leur vie, mais aussi les belles choses accomplies dans le partage, le respect des autres…
… préparant ainsi prières pénitentielles et universelles, le Père Sanctus reprenant lors de son homélie les propos des élèves notamment sur la confiance.
Les chants animés par Mme Kerihuel accompagnée par Mme Dutot à la flûte traversière ont fait que cette célébration soit belle avec la participation des élèves. Nous avons pu prendre un temps de méditation sur un très beau morceau de flûte.
Nanou, pour le Secours Catholique, a pris part à cette célébration en s’adressant aux élèves au travers d’un beau texte de Mère Teresa.
Sous un beau soleil, tous les collégiens et enseignants volontaires se sont ensuite retrouvés dans la cour pour partager un pique-nique solidaire. Les bénéfices de ce repas vont être versés au Secours Catholique que nous avons souhaité soutenir cette année dans ses nombreuses actions.
Nous avons pu présenter aux élèves un petit film que le Secours Catholique nous a procuré,
les sensibiliser et échanger à la suite de la projection.
Quatre semaines précieuses pour préparer notre cœur,
quatre attitudes spirituelles à adopter l’une après l’autre
pour avancer sur ce chemin qui nous conduit à Noël.
- 1ère semaine de l’Avent, du 29 novembre au 5 décembre : Veiller.
Il est des temps de ce monde ou de notre histoire où il fait nuit : nuit de la souffrance, nuit de la solitude, nuit de la foi, nuit en attente de lumière, de tendresse, de paix.
Ces nuits nous acculent à un choix : Ou bien baisser les bras, renoncer, ou bien choisir de croire malgré tout, choisir de vivre, choisir de veiller pour attendre la fin de la nuit, car elle viendra.
Heureux celui, celle qui aura veillé, attendu, cru. Ils sont veilleurs d’Espérance.
Pour veiller dans les nuits de ce monde ou de sa vie personnelle, le disciple de Jésus a dans le cœur une lampe qui brille et perce la nuit. Ce monde, nos vies, sont définitivement sauvés en Lui, définitivement armés. Sa vie a vaincu nos morts par sa résurrection.
Alors veiller, ce sera savoir reconnaître Sa victoire déjà là, dans les petites choses comme ce qui est en train de naître, et s’engager de toutes ses forces à la suite de celui qui a ouvert le chemin.
- 2ème semaine de l’Avent, du 6 au 12 décembre : Préparer.
Préparer son cœur, pour que le Christ y fasse davantage sa demeure. Il est venu le temps pour que chacun l’accueille au plus profond de sa vie et la transforme.
Préparer, c’est ouvrir ma porte pour que Dieu entre dans ma vie.
Préparer ce n’est pas s’agiter, c’est plutôt s’arrêter, se reposer, offrir un espace à Dieu, ouvrir un espace pour entendre la Bonne Nouvelle.
Alors, Jésus se sentira invité, attendu et n’aura pas peur de nous déranger.
- 3ème semaine de l’Avent, du 13 au 19 décembre : Se réjouir.
Se réjouir, de Le connaître, de L’aimer. Peser avec amour tout ce que la foi me donne. Se réjouir du changement de regard que ma foi me donne. Se réjouir malgré cette période difficile. La prière nous donne la force d’avancer. Prier, c’est aussi entretenir une relation légère et spontanée avec Dieu, même quand ça va mal.
- Noël, le 25 décembre : S’étonner.
Pour cela regarder longuement l’enfant dans nos crèches. Nous sommes les bergers qui accueillent et transmettent la Bonne nouvelle de la présence de Jésus dans notre monde, dans nos familles, dans nos écoles. Nous sommes aussi invités à accueillir Jésus comme Marie et Joseph l’ont fait.
Le samedi 17 octobre 2020, un temps fort diocésain a eu lieu dans les salles St Phélan au Moustoir à Lorient pour les CM. Un moment important dans cette belle journée qui a réuni une trentaine d’enfants. Foi et courage : ingrédients magiques et force pour les enfants et les parents qui se sont déplacés.
Nous avons démarré notre journée par un temps de prière.
Puis nous sommes partis découvrir les ateliers :
- Les sacrements dans la vie des chrétiens
- Le sacrement de pénitence et de réconciliation
- Les repas dans la Bible
- La messe
- L’offertoire
- Bienheureux Pierre-René Rogue
Qui est Pierre-René Rogue ?
Pierre-René Rogue est né le 11 juin 1758 à Vannes. Il étudie au collège Saint-Yves de Vannes (aujourd’hui collège Jules Simon)
Il entre en 1776 au grand séminaire et il est ordonné prêtre en 1780.
Aumônier de la retraite des femmes, il rejoint à sa demande, la Congrégation de la Mission, fondée par Saint Vincent de Paul. Après un temps à Paris, il revient à Vannes où il enseigne au grand séminaire.
Malgré le début de la révolution, la vie continue sans grande perturbation.
En avril 1791, les séminaristes sont obligés de partir. Les biens sont saisis et les directeurs expulsés. Dès lors, les prêtres réfractaires (ceux qui n’ont pas prêté serment à la constitution) sont obligés soit de s’exiler, soit de vivre dans la clandestinité. Pierre-René Rogue choisit de rester à Vannes.
Sa vie à Vannes continue : messes et sacrements clandestins, refuges précaires chez des paroissiens courageux avec le risque permanent d’être arrêté et guillotiné (pour lui-même mais aussi pour ceux qui le protègent).
Avec l’amnistie proclamée à Vannes en juin 1795, l’abbé exerce prudemment son ministère pendant quelques mois.
Mais le 25 octobre 1795, la convention remet en vigueur les lois de persécution.
C’est ainsi que le soir du 24 décembre 1795, veille de Noël, alors qu’il porte l’Eucharistie à un malade, le Père Pierre-René Rogue est arrêté, emprisonné et interrogé. Ses réponses sont alors simples : il n’a pas quitté le pays à cause de sa santé, et bien qu’il ait refusé le serment, il affirme n’avoir jamais troublé
l’ordre public.
Il est condamné à mort le 2 mars 1796, exécuté le lendemain à 15h sur la place du Marché de Vannes (actuelle place de l’Hôtel de Ville).
Sa béatification eut lieu le 10 mai 1934, jour où on le fête désormais dans le diocèse de Vannes.
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À 15h, une messe fut célébrée par le Père Olivier à la crypte avec « eucharistie ».
Un grand merci à lui pour avoir pris le temps d’expliquer chaque geste aux enfants.
Un grand merci aux adultes et aux enfants pour cette rencontre riche en partage.
« De tous côtés on n’entend plus que ça » : Corona !!! Coronavirus !!!
Aura-t-il raison du couscous de la paroisse cette année ?
Eh bien non… Le samedi 10 octobre le couscous de la paroisse a bien eu lieu,
mais en version « à emporter ».
352 repas couscous commandés, un véritable succès !
Le retrait des couscous s'est très bien déroulé à la salle Speicher de l’Espace Jean Rostand, de 16h à 17h30. Les gestes barrières ont pu être respectés. Ce fut un moment agréable de rencontre malgré tout.
Une vente de crêpes, préparées par des bénévoles de la paroisse, avait lieu à l'extérieur de la salle et a connu un vif succès.
Un grand merci à vous tous qui avez contribué au succès de cette manifestation « Couscous à emporter ».
Merci à ceux qui étaient présents samedi pour la distribution mais aussi merci à tous ceux qui ont diffusé l’information, et collecté les inscriptions.
Merci aussi aux crêpiers et crêpières coachés par Marie-Claire Guiguen qui ont préparé les bonnes crêpes, fort appréciées et toutes vendues !!!
Et enfin, merci à vous tous, à nous tous qui avons commandé des repas couscous que chacun a pu apprécier, peut-être en famille ou avec des amis…
Une occasion de vivre et de partager un agréable moment.
Après un samedi radieux, ce dimanche 9 février, jour du concert de la paroisse, a connu une météo bien différente ! Ce mauvais temps allait-il favoriser ou freiner la venue du public ? Une petite inquiétude qui était, somme toute perceptible, a été rapidement balayée. Ce fut l’une des plus belles affluences de ces dix dernières années avec près de 200 auditeurs.
Ceux-ci se sont d’abord laissé transporter à travers le monde grâce au chef de chœur Jérémy Simon et ses choristes de Ktêma chantant dans un style très original des airs traditionnels de 8 pays de cultures bien différentes.
Après l’entracte, la chorale Syn’Jo Phonie menée par Aline Foucher dans un tout autre style, a ravi les mélomanes présents par des chansons souvent très connues qu’ils ont pu rythmer ou chanter avec les choristes.
C’est par deux chants interprétés en commun que les deux chorales ont clôturé le concert.
En résumé, des choristes enthousiastes sous la houlette des chefs de chœurs dynamiques Jérémy Simon et Aline Foucher ont offert au public une excellente prestation dans une ambiance détendue et parfois même « bon enfant ».
Un grand merci aux deux chorales et au public qui s’est déplacé en nombre malgré le mauvais temps.
Dans la liste des remerciements, n’oublions pas les bénévoles qui ont diffusé l’information, fabriqué des gâteaux, tenu les stands de boissons chaudes à l’entracte, préparé le « verre de l’amitié » prévu pour réconforter les artistes après la manifestation.
Tout cela contribue à créer des moments de partage et de convivialité.
